Mot d'excuse
ce matin je me suis levée à 7h... alors même que j'avais veillé tard car j'étais bien décidée à aller au bureau.
Mais voilà il pleut... j'ai plus de parapluie et il fait pas trop trop chaud.
Je me suis dit attendons un peu pour voir.
Alors mon café, mes céréales et moi on s'est lové sous la couette avec Marvin sur les genoux et de la lecture terriblement palpitante sur l'origine du mot épigénétique (c'est surtout pour l'intro de la thèse et un peu pour le plaisir parce que question lecture en ce moment je suis en mode régressif: je relis Bridget Jones pour m'éteindre le cerveau complètement!).
D'un coup la sonnette a retenti, il était presque 10h (rassure-toi j'avais pas laisser refroidir le café, ni ramollir les céréales).
Après avoir essayé mon nouveau tee-shirt (t'es une fille ou tu l'es pas mais si t'en es une vraie tu essayes tout de suite les fringues neuves), j'ai pas eu le courage de tenter le paréo après avoir jeté un oeil à la fenêtre, j'ai trié les piments et comme je suis en pleine épiphanie jardinesque: les piments qui avaient souffert du voyage je les ai ouvert et j'ai planté les graines (je me suis lavée trois fois les mains ensuite et malgré ça en me frottant les yeux je me suis brûlée maintenant on dirait que je reviens de la piscine), j'ai accroché le mobile amérindien (je crois que c'est pour attrapper les mauvais rêves ça tombe bien!)...
A ce moment-là je dois dire que j'avais enfilé le jean de la honte (il a presque un trou à la fesse), un vieux haut, attaché mes cheveux sans jeter un oeil dans le miroir et j'avais même passé un vieux gilet sur mes épaules si on ajoute mes yeux injectés de sang et la pluie: j'ai décidé de continuer la lecture chez moi.
Mais voilà il pleut... j'ai plus de parapluie et il fait pas trop trop chaud.
Je me suis dit attendons un peu pour voir.
Alors mon café, mes céréales et moi on s'est lové sous la couette avec Marvin sur les genoux et de la lecture terriblement palpitante sur l'origine du mot épigénétique (c'est surtout pour l'intro de la thèse et un peu pour le plaisir parce que question lecture en ce moment je suis en mode régressif: je relis Bridget Jones pour m'éteindre le cerveau complètement!).
D'un coup la sonnette a retenti, il était presque 10h (rassure-toi j'avais pas laisser refroidir le café, ni ramollir les céréales).
Après avoir essayé mon nouveau tee-shirt (t'es une fille ou tu l'es pas mais si t'en es une vraie tu essayes tout de suite les fringues neuves), j'ai pas eu le courage de tenter le paréo après avoir jeté un oeil à la fenêtre, j'ai trié les piments et comme je suis en pleine épiphanie jardinesque: les piments qui avaient souffert du voyage je les ai ouvert et j'ai planté les graines (je me suis lavée trois fois les mains ensuite et malgré ça en me frottant les yeux je me suis brûlée maintenant on dirait que je reviens de la piscine), j'ai accroché le mobile amérindien (je crois que c'est pour attrapper les mauvais rêves ça tombe bien!)...
A ce moment-là je dois dire que j'avais enfilé le jean de la honte (il a presque un trou à la fesse), un vieux haut, attaché mes cheveux sans jeter un oeil dans le miroir et j'avais même passé un vieux gilet sur mes épaules si on ajoute mes yeux injectés de sang et la pluie: j'ai décidé de continuer la lecture chez moi.